-
Les batailles perdues se résument en deux
mots: Trop tard! (un stratège)
-
"Des moutons dirigés par un lion sont plus
redoutables que des lions dirigés par un âne" Général Douglas
Mac Arthur
-
Tout ce qui n'est pas donné est perdu
-
"Sans le jazz, la vie serait une erreur"
Boris Vian
-
La politique est l'art d'empêcher les
citoyens de se mêler de ce qui les regarde (Paul Valéry)
-
"Il y a deux sortes de justice : vous avez
l'avocat qui connaît bien la loi, et vous avez l'avocat qui
connaît bien le juge" Coluche
-
"Il faut se méfier des comiques, parce que
quelquefois ils disent des choses pour plaisanter" Coluche
-
C'est l'une des grandes leçons de Miles: le
silence n'est pas un vide... ...Ainsi, au lieu d'arrêter
l'histoire, on installe une tension. (Yaron Herman, Jazzman
Avril 2009, Alex Dutilh)
-
J'aime bien cette notion de surprise au
concert. J'en ai fondamentalement besoin. Du coup, la répétition
est presque un contresens. Comme la notion d'arrangement,
d'ailleurs. Je préfère le dérangement. (Yaron Herman, Jazzman
Avril 2009, Alex Dutilh)
-
Il est vrai que je déteste me répéter. C'est
même un credo de chacun de mes concerts, que ce soit en solo ou
en trio. Sinon ce n'est pas la peine de faire du jazz. (Yaron
Herman, Jazzman Avril 2009, Alex Dutilh)
-
Mon but n'est p'as de devenir un bon
musicien: cela n'est pas si difficile. J'ai surtout envie de
quelque chose de plus qui va changer ma vie et éventuellement
celle des gens qui m'écoutent. C'est ce que j'entends chez les
musiciens que j'admire. Pas leur côté surdoué ou virtuose, mais
un élan vital irrépressible. Le fait qu'ils jouent leur vie dans
leur musique. (Yaron Herman, Jazzman Avril 2009, Alex Dutilh)
-
La connaissance est le seul bien qui
s’accroît quand on le partage
-
C'est curieux, chez les marins... (Les
tontons flingueurs)
-
Faites du jazz, pas la guerre ! Von
-
Si on veut vivre de façon honnête, il faut
savoir vivre dangereusement (Jaco Pastorius)
-
On les a dans ses bras, puis un jour sur les
bras, et bientôt sur le dos (Sacha Guitry)
-
Toutes mes tentatives de régime se sont
soldées par un bide ! (Philippe Gelluck, Le Chat)
-
L'avenir m'intéresse parce que c'est là que
j'ai l'intention de passer mes prochaines années Woody Allen
-
Nous ne sommes pas tous des lumières mais
nous avons tous une lumière en nous !...
-
On va, on vient, on fait des livres, on
envoie des tas de salutations à Pierre et à Paul, on attend la
gloire, la fortune, et on claque en chemin (Paul Léautaud)
-
De la musique avant toute chose Paul Verlaine
-
Tu seras aimé le jour où tu pourras montrer
ta faiblesse sans que l'autre s'en serve pour affirmer sa force
Pavese
-
La politique est l'art d'empêcher les gens de
se mêler de ce qui les regarde Paul Valéry
-
Lourdes: 42 miracles dit l'Eglise, 19
miracles dit la gente médicale, 11721 personnes accidentées en y
allant ! Anonyme
-
Ceux qui ne savent rien faire, ceux qui ne
peuvent rien faire et ceux qui ne veulent rien faire ont quelque
chose en commun: ils ne font rien ! Le Chat
-
Le temps passe mais l'oeuf dur Daniel Prévost
-
L'argent, l'argent ! Ce qui compte c'est d'en
avoir, c'est tout !
-
Nous avons compris depuis longtemps qu'il
n'était plus possible de renverser ce monde, ni de le remodeler,
ni d'arrêter sa malheureuse course en avant. Il n'y a qu'une
seule résistance possible: ne pas le prendre au sérieux. (Milan
Kundera)
-
La jalousie? Tout l'alimente mais rien ne
l'apaise !
-
Le sexe sans amour est une expérience très
décevante. Mais de toutes les expériences décevantes, c'est la
meilleure! (Woody Allen)
-
Plus je sais ce que je veux, moins je veux ce
que je sais (Philippe Gelluck)
-
Un curé bègue évitera généralement d'annoncer
le moment de la quête. (Philippe Gelluck) Le Chat)
-
Là-dessus, Dieu ne Bouddah pas son plaisir et
s'en Allah car il n'y Yaveh plus rien à ajouter. (Le Chat)
-
Si les moustiques étaient des abeilles, ils
ramèneraient du sang à la ruche et la reine ferait du boudin.
(Le Chat)
-
Si les lentilles vous font péter, portez des
lunettes. (Le Chat)
-
La femme est le chef d'oeuvre de Dieu surtout
quand elle a le diable au corps ... (Alphonse Allais)
-
Quand un philosophe me répond, je ne
comprends plus ma question. (Pierre Desproges)
-
Si vous avez compris ma réponse, c'est que je
me suis mal exprimé (Allan Greenspan ancien directeur de la FED)
-
Alphonse Allais était aussi un original.
Ayant un jour une forte envie pressante, il entra dans une
pharmacie en demandant une analyse d'urine. Son besoin soulagé,
il salua et sortit.
-
Ô privilège du génie, lorsqu'on vient
d'entendre un morceau de Mozart, le silence qui lui succède est
encore de lui ... (Sacha Guitry)
-
Je suis contre les femmes .... tout contre.
(Sacha Guitry)
-
Une femme doit avoir trois hommes dans sa
vie, un de soixante ans pour le chèque, un de quarante pour le
chic et un de vingt pour le choc. (Sacha Guitry)
-
Les ordres sont les suivants : on courtise,
on séduit, on enlève et en cas d’urgence…on épouse. (Les
barbouzes (Michel Audiard)
-
Quand les types de 130 kilos disent certaines
choses, ceux de 60 kilos les écoutent (Michel Audiard)
-
Pourquoi certains n'auraient pas tout ? Il y
en a qui n'ont rien. Ca fait l'équilibre. (Michel Audiard)
-
Je me suis rendu compte que j'avais pris de
l'âge le jour ou j'ai constaté que je passais plus de temps à
bavarder avec les pharmaciens qu'avec les patrons de bistrot.
(Michel Audiard)
-
Faut pas parler aux cons, ça les instruit.
(Michel Audiard)
-
Si t'as pas de grand-père banquier, veux-tu
me dire à quoi ça sert d'être juif? (Michel Audiard)
-
Il a un côté sympathique, seulement on le
voit toujours de face. (Francis Blanche)
-
Ne parlons pas d'argent : ça énerve les gens
qui n'en n'ont pas. (Francis Blanche)
-
Il n'y a plus de nos jours que deux sortes de
piétons: les rapides et les morts. (Francis Blanche)
-
Le gros-rouge-qui-tache est au
Mouton-Rothschild ce que la brebis galeuse est à l'agneau pascal
(Pierre Dac)
-
L'ennemi est bête, il croit que c'est nous
l'ennemi, alors que c'est lui (Pierre Desproges)
-
Parfois je regarde la télé toute la journée.
C'est chiant. Mais quand je l'allume, c'est pire ! (Patrick
Timsit)
-
Elle est tellement âgée qu'elle a un
exemplaire dédicacé de la Bible.
-
De nos jours, l'assistance à personne en
danger se résume à assister au danger...
-
Le jour où Microsoft vendra quelque chose qui
ne se plante pas, je parie que ce sera un clou.
-
A la fin, nous nous souviendrons non pas des
mots de nos ennemis, mais des silences de nos amis (Martin
Luther King)
-
Le seul moment où une femme réussit à changer
un homme, c'est quand il est bébé (Nathalie Wood)
-
C'est en voyant un moustique se poser sur ses
testicules qu'on réalise qu'on ne peut pas régler tous les
problèmes par la violence (proverbe chinois)
-
Les grands discours font les petites journées
(un patron)
-
Pour qu'on ne puisse abuser du pouvoir, il
faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le
pouvoir (Montesquieu)
-
La paix n'est pas l'absence de guerre, c'est
une vertu, un état d'esprit, une volonté de bienveillance, de
confiance, de justice (Baruch Spinoza)
-
J'ai soixante-dix ans, ce n'est tout de même
pas mal pour un homme de mon âge (sacha Guitry)
-
Ah non alors, déjà qu'on est pauvre si en
plus on doit avoir des problèmes d'argent !... (Coluche)
-
Si tu t'endors avec le cul qui gratte, tu te
réveilles avec le doigt qui sent (Coluche)
-
Il y a 3 sortes de mensonges: les petits
mensonges, les gros mensonges et les statistiques ()
-
Tuer un homme, ce n'est pas défendre une
idée, c'est tuer un homme (Sébastien Castellion, né en 1515)
-
1 minute de tendresse, dix jours à se
gratter (Michel Audiard, Le professionnel)
-
Un piéton est un automobiliste qui a trouvé
une place de parc (Pierre Dac)
-
Une chose n’est pas juste parce qu’elle est
loi; mais elle doit être loi parce qu’elle est juste
(Montesquieu)
-
Il n’y a point de plus cruelle tyrannie que
celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de
la justice (Montesquieu)
-
C’est un malheur qu’il y a trop peu
d’intervalle entre le temps où l’on est trop jeune, et le temps
où l’on est trop vieux (Montesquieu)
-
L’homme pieux et l’athée parle toujours de
religion : l’un parle de ce qu’il aime, et l’autre ce qu’il
craint (Montesquieu)
-
La plupart des hommes sont plus capables de
grandes actions que de bonnes (Montesquieu)
-
J’ai toujours vu que pour réussir dans le
monde, il fallait avoir l’air fou et être sage (Montesquieu)
-
C'est une ennuyeuse maladie qu’une santé
conservée par un trop grand régime (Montesquieu)
-
La gravité est le bonheur des imbéciles
(Montesquieu)
-
Je voudrais bannir les pompes funèbres : il
faut pleurer les hommes à leur naissance, et non pas à leur mort
(Montesquieu)
-
Vérité dans un temps, erreur dans un autre
(Montesquieu)
-
Une injustice faite à un seul est une menace
faite à tous (Montesquieu)
-
Remarquez bien que la plupart des choses qui
nous font plaisir sont déraisonnables (Montesquieu)
-
Les propositions mathématiques sont reçues
comme vraies parce que personne n'a intérêt qu'elles soient
fausses (Montesquieu)
-
Il est très surprenant que les richesses des
gens d'église aient commencé par le principe de pauvreté
(Montesquieu)
-
Les juifs, toujours exterminés et toujours
renaissants, ont réparé leurs pertes et leurs destructions
continuelles par cette seule espérance qu'ont parmi eux toutes
les familles, d'y voir naître un roi puissant qui sera le maître
de la terre (Montesquieu)
-
Ce n'est pas les médecins qui nous manquent,
c'est la médecine (Montesquieu)
-
J'aime les paysans, ils ne sont pas assez
savants pour raisonner de travers (Montesquieu)
-
La crainte est un ressort qu'il faut ménager
; il ne faut jamais faire de loi sévère lorsqu'une plus douce
suffit (Montesquieu)
-
Les pays ne sont pas cultivés en raison de
leur fertilité mais en raison de leur liberté (Montesquieu)
-
Celui qui fait exécuter les lois doit y être
soumis (Montesquieu)
-
La gravité est le bouclier des sots
(Montesquieu)
-
Un mari qui aime sa femme est un homme qui
n'a pas assez de mérites pour se faire aimer d'une autre
(Montesquieu)
-
Pour bien apprécier le bonheur, il faut avoir
connu le malheur (Nietsche)
-
Si un homme est drôle, c'est qu'il est
intelligent (Claude-Inga Barbey)
-
Les états n'ont pas de sentiments, ils ont
des intérêts (Charles De Gaulle)
-
"Je ne suis pas d’accord avec ce que vous
dites, mais je me battrai jusqu’au bout pour que vous ayez le
droit de le dire" (Voltaire)
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Peut-être que croire en Dieu se résume à
espérer qu'il existe (Jean d'Ormesson)
-
Si Dieu existe, qu'il le prouve, et s'il
n'existe pas, qu'il ait le courage de l'avouer (Pierre Dac)
-
Si l'on coupe la main d'un Italien, il risque
de devenir muet (Sylvain Tesson)
-
Les médecins ne savent pas trop quoi dire,
ils nous palpent pour gagner du temps (Sylvain Tesson)
-
Internet: Au commencement était le verbe, à
la fin était le blog (Sylvain Tesson)
-
Le seul inconvénient à la disparition de
l'humanité est qu'il n'y aura personne pour se réjouir de
l'évènement (Sylvain Tesson)
-
Se marier: trouver quelqu'un qui accepte de
partager avec soi l'inconvénient de la vie à deux (Sylvain
Tesson)
-
Dieu unique, guerres multiples (Sylvain
Tesson)
-
Quand on voit comment se comportent les
fidèles, on est soulagé que Dieu soit unique (Sylvain Tesson)
-
Tous les matins, face au miroir: le même, en
moins bien (Sylvain Tesson)
-
Apparition de l'homme sur la Terre: l'Evolution
déterre la hache de guerre (Sylvain Tesson)
-
La pollution, l'haleine des masses (Sylvain
Tesson)
-
Nous avons même perdu la liste des espèces en
voie de disparition (Sylvain Tesson)
-
Le jeune homme marche plus vite que le vieil
homme, mais le vieil homme connaît la route
-
Jouissez de la vie, il est bien plus tard que
vous ne le pensez! (L'aventure c'est l'aventure", Claude
Lelouch)
-
Les faits ne pénètrent pas dans le monde où
habitent les croyances (Paul Valéry)
-
"Éprouvez tout, retenez ce qui est bon"
(Origène, In Matth. Comm., Ser XXVIII, t XIII col 1637)
-
Si vous voulez prendre rendez-vous,
choisissez quelqu'un de très occupé, les autres n'ont pas le
temps ! (Henry Ford)
-
C'est une erreur de dire que l'argent roule,
il monte. Monte par inclination naturelle, comme le fumet des
viandes sacrifiées jusqu'aux narines des puissants (Nicolas
Bouvier)
-
Au sommet, une mosquée de pierres sèches dont
l'étendard vert claque comme un mousquet dans le vent (Nicolas
Bouvier)
-
Prendre son temps est le meilleur moyen de
n'en pas perdre. (Nicolas Bouvier)
-
Auparavant j'étais indécis, je ne suis pas
sûr que ce soit encore le cas...
-
Mon rêve c'est d'être le premier mondial de l'humilité...
-
Mon type de femme c'est celles qui disent oui
(Coluche)
-
Couvert de crachats et de sang comme un
escalier de dentiste (Vladimir Holan)
-
Ne prenez pas la vie au sérieux, de toute
façon, vous n'en sortirez pas vivant (Bernard Fontenelle)
-
La critique, ce n'est pas juger mais
s'approcher pour entendre, et reculer pour comprendre (Jean
Starobinski)
-
L'être demande à être édifié (Jean
Starobinski)
-
Chaque décision est un refus (Spinoza)
-
Le pouvoir est l'aphrodisiaque suprême (Henry
Kissinger)
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Un voyage de mille lieues a commencé par un
pas (Lao Tseu)
-
Ils ne savaient pas que c'était impossible.
Alors ils l'ont fait ! (Marc Twain)
-
Une innovation n'est pas une idée nouvelle en
plus, mais une vieille certitude en moins. (Bertrand Piccard)
-
Lorsque vous posez un regard positif sur
quelqu'un vous êtes un créateur de bonté en lui. (Jean-Yves
Leloup)
-
Ne montrez personne du doigt: Quand vous le
faites, vous dirigez un doigt contre l'autre, et trois doigts
contre vous. (chef sioux Archie Fire Lame Deer)
-
Le pardon est plus un acte qui invente un
avenir qu'un acte qui efface le passé. (Alain Houziaux)
-
On peut être tolérant en permettant à
quiconque de penser comme il veut, mais pas nécessairement le
laisser faire ce qu'il veut. (Bertrand Piccard)
-
A quoi servirait d'être victorieux, si l'on
n'était plus vivant pour en profiter ? (Francis Blanche)
-
Le hasard, c'est la forme que prend Dieu pour
passer incognito. (Jean Cocteau)
-
Rien n'est plus difficile que d'entendre une
demande qui n'est pas dite ! (Olivier Gonin)
-
Quand tu ne sais pas où tu vas, n'oublie
jamais d'où tu viens. (Proverbe africain)
-
Ne pas craindre d'être lent, seulement de
s'arrêter. (proverbe chinois)
-
Etre de partout, c'est être de nulle part.
(Xavier Patier)
-
Le plus souvent, on cherche son bonheur comme
on cherche ses lunettes: quand on les a sur le nez. (Françoise
Droz)
-
Aimer une personne pour son apparence, c'est
comme aimer un livre pour sa reliure. (Félicité Angers dite
Laure Conan)
-
Rien ne sert de courir, il faut partir à
point. (La Fontaine)
-
La raison du plus fort est toujours la
meilleure. (La Fontaine)
-
Nous avions les terres et les missionnaires
nous ont dit de fermer les yeux pour prier. Quand nous les avons
rouverts, ils avaient les terres et nous avions la Bible. (un
Africain)
-
Les logiciels , c'est comme les pets , on ne
tolère que les siens (San Antonio)
-
"On obéit à un chien s'il a le pouvoir"
(Shakespeare, Le Roi Lear)
-
Le pouvoir, par l'avilissement servile et
courtisan de l'entourage rend, si l'on n'y prend pas garde,
"cynique", c'est-à-dire, selon l'étymologie grecque, rend
"chien". Le pouvoir isole. ("Henri IV, le roi libre" de François
Bayrou)
-
L'art est le chemin plus court d'un cerveau à
un autre (Joe Boehler, peintre)
-
Si vous voulez conserver la joie que vous
procure le tableau, pensez toujours à ce que les mots ne peuvent
expliquer qu'une partie de ce que vous ressentez, parfois ils
nous les cachent quelquefois.
-
La magie de l'art réside dans ces sphères
pour lesquelles il n'y a pas de mots (Samy Bak, peintre) "BAK,
Denkmähler unserer Traüme" (p110, Rolf Kellenbach)
-
Le capitalisme n'est pas mauvais en soi, son
problème est d'avoir donné trop de place à l'argent (Pape
François)
-
Avec l'âge, les montagnes sont plus hautes (Reinhold Messner)
-
L'humanitude, c'est le cadeau qui nous est
offert par notre capacité à transformer le monde (Freddy
Klopfenstein)
-
Ni Dieu ni maître, même nageur. (Michel Froideveaux)
-
“Sooner or later, everything old is new again”
Stephen King (Tôt ou tard, tout ce qui est ancien redevient
nouveau)
-
D’abord, tu ne m’as jamais prêté ta
casserole, ensuite, je te l’ai rendue et, de toute façon, quand
tu me l’as prêtée, elle avait déjà un trou! (galéjade
yiddish)
-
Le propre de l'Homme, c'est son inhumanité
(Étienne Chatton)
-
Le monde était fait pour les bêtes.
L'Homme arriva tout récemment.
Se répandit dans le jardin
Et c'en fut terminé de la félicité.
(Sylvain Tesson)
-
Le faiseur de vitraux assemble des milliers
d'éclats de verre. Soudain surgit un dessin. Les Parties ont
formé un Tout. (Sylvain Tesson)
-
Le vrai art de la table consiste à ne jamais
y rester trop longtemps. Car l'ennemi, dans la vie, c'est le
gras. (Sylvain Tesson)
-
Dieu est tellement grand qu'il ne doit pas
nous voir (Sylvain Tesson)
-
L'Homme descend du songe (Antoine Blondin)
-
Les sceptiques ont toujours pensé que ce qui
n'existe pas encore n'existera jamais (Sylvain Tesson)
-
Bertrand Piccard est frappé du sceau d'une
infamie qui le privera à jamais du plébiscite français: il
réussit ce qu'il touche(Sylvain Tesson)
-
Le XXIe siècle sera consternant ou ne sera
pas (Sylvain Tesson)
-
On demandait à Topor ce qu'il fallait faire
pour aider les Polonais. Il répondait "Envoyez-leur des
voyelles!" (Sylvain Tesson)
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Résolution pour l'an nouveau: boire plus pour
manger moins (Sylvain Tesson)
-
Résolution pour l'an nouveau: En croisant des
chasseurs. dire "Merci d'oeuvrer à la régulation des espèces
invasives". Si vous demandez "C'était jouissif?", il se vexent
(Sylvain Tesson)
-
Résolution pour l'an nouveau: Apprendre à
dire dans chaque langue "Il paraît que votre peuple tient mal
l'alcool". Fête garantie! (Sylvain Tesson)
-
Résolution pour l'an nouveau: Ne plus manger
une viande d'élevage industriel qui contient davantage de
souffrances que de calories (Sylvain Tesson)
-
Résolution pour l'an nouveau: Ne pas
s'imaginer qu'on change le monde en changeant les mots. Un
clochard noir ne se consolera pas d'apprendre qu'il est un sans
domicile fixe issu de la diversité. Lui offrir plutôt un billet
avec le sourire. (Sylvain Tesson)
-
Résolution pour l'an nouveau: Demander qu'on
inscrive "Lire tue" sur la couverture des textes religieux
(Sylvain Tesson)
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Contempler un tout-petit est une jouvence
(Sylvain Tesson)
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Il faut vivre et partir ou rester et mourir
(Shakespeare)
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Fenêtres condamnées dans les buildings: Et si
la vraie raison d'interdire l'ouverture c'était pour que les
employés ne s'y jetassent point par détresse de vivre dans un
monde où l'on empêche les gens de respirer le ciel?
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TV à écran plat: aussi plat que ce qu'il
diffuse. (Sylvain Tesson)
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Etre Français c'est vivre dans un paradis
peuplé de gens qui se croient en enfer (Sylvain Tesson)
-
Blaise Cendrars à qui l'on demandait pourquoi
il voyageait. Il répondait "Parce que" (Sylvain Tesson)
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I am a man of simple tastes, easily satisfied
by the best. (Churchill tirant sur un Davidoff)
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En 1936, les alpinistes anglais Tilmann et
Odell arrivent au sommet du plus haut jamais gravi: "Nous
oubliâmes toute retenue au point de nous serrer la main"
(Sylvain Tesson)
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Ce billet doux plié en deux cherche une
adresse de fleur (Jules Renard)
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Il vaut mieux qu'il pleuve aujourd'hui qu'un
jour où il fait beau (Pierre Dac)
-
Je ne suis pas un dictateur, j’ai simplifié
la démocratie (Adolph Hitler)
-
Il est tellement moche que lorsqu'il va dans
une banque on coupe les caméras
-
Il est tellement radin que ce sont les
pigeons qui lui lancent du pain
-
Le silence des pantoufles est plus redoutable
que celui des armes (Edwy Plenel)
-
Ce qu'on a coutume d'appeler la politique
n'est que le catéchisme de la combine et du maquignonnage
(François Mitterrand)
-
L'ère industrielle a pu tranquillement
développer, sous le couvert d'un libéralisme fort prisé, un
système monstrueux d'esclavage (François Mitterrand)
-
La première liberté est celle de manger à sa
faim (François Mitterrand)
-
Ayez confiance en vos rêves, car en eux se
car en eux se cache le portail de l'éternité (Khalil Gibran)
-
La différence entre ce que l’on est et ce que
l’on voudrait être, c’est ce que l’on fait. (Inconnu)
-
Du jours où j'ai compris quels étaient les
gens que j'exaspérais, j'avoue que j'ai tout fait pour les
exaspérer (Kyril Gossweiler)
-
Ah la belle chose de savoir quelque chose!
(Molière, Les bourgeois gentillomme)
-
En Tadjikistan, dans le massif du Pamir, il
existe un "Pic du radio amateur" (Sylvain Tesson)
-
Rien ne rend méchant comme le pouvoir possédé
à petite dose (Sylvain Tesson)
-
Il est trop tôt pour savoir s'il est déjà
trop tard ! (Pierre Dac)
-
Il est tellement plus gratifiant d'abandonner
à son adversaire l'illusion de la victoire tout en sachant
combien il serait facile de l'écraser (un diplômé en arts
martiaux)
-
Quand tu ne peux plus faire un pas, tu peux
encore en faire un autre (Mike Horn)
-
Les institutions passent par trois périodes:
celle des services, celle des privilèges, celle des abus
(Chateaubriand)
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Comme les femmes seraient merveilleuses si on
pouvait tomber dans leur bras sans tomber entre leurs mains
(Baudelaire )
-
On n'est pas sérieux quand on a 17 ans
(Rimbaud) A trente ans non plus (Pierrot Le Fou)
-
Pour avancer, il suffit de pédaler (Albert
Einstein)
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Apprendre à s'accepter, c'est le début de la
force (Bernard Cazeneuve)
-
Ma vie a été remplie de terribles malheurs...
qui pour la plupart ne se sont jamais produits. (Montaigne)
-
Au fond, si la mort n'existait pas, la vie
perdrait son caractère comique (Romain Gary)
-
Agir, ce n'est pas forcément savoir ce qu'on
fait. (J.M.G. Le Clézio)
-
Il faut se méfier des gens qui n'ont pas la musique en eux
(Winston Churchill)
-
Mourir éventuellement d'accord, si vraiment
on ne peut pas faire autrement, mais vieillir non, c'est un
naufrage (Moi)
-
Pablo, Diego, José, Francisco de Paula, Juan
Nepomuceno, María de los Remedios, Crispín Cipriano de la
Santísima Trinidad Ruiz y Picasso (nom complet de Pablo Picasso)
-
Je crois pouvoir affirmer que personne ne
comprend vraiment la physique quantique (Richard Feynman)
-
Si un jour on n'a rien à manger, peu importe
tant qu'il reste des livres à lire (Anne Cuneo)
-
Il est paradoxal de constater que des milieux
autrefois ostracisés deviennent plus intransigeants que ceux
qui, à l'époque, les empêchaient de s'exprimer. (Pascal Sciarini)
-
On peut rire de tout mais pas avec n'importe
qui (Pierre Desproges)
-
Sourire rend inutile tout médicament
(proverbe chinois)
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Les enfants sont éduqués par ce que l'adulte
est, et non par ses bavardages (Carl Gustav Jung)
-
La solitude ne vient pas de l'absence de gens
autour de nous, mais de notre incapacité à communiquer les
choses qui nous semblent importantes (Carl Gustav Jung)
-
Là où l'amour règne, il n'y a pas volonté de
puissance et là où domine la puissance, manque l'amour. L'un est
l'ombre de l'autre (Carl Gustav Jung)
-
Le noyau de toute jalousie est un manque
d'amour (Carl Gustav Jung)
-
Si tu retiens celui qui s'éloigne, tu
pourrais barrer le chemin à celui qui veut se rapprocher (Carl
Gustav Jung)
-
Tu veux un monde meilleur, plus fraternel,
plus juste ? Eh bien commence à le faire : qui t'en empêche ?
Fais-le en toi et autour de toi, fais-le avec ceux qui le
veulent. Fais-le en petit, et il grandira (Carl Gustav Jung)
-
En chacun de nous existe un autre être que
nous ne connaissons pas. Il nous parle à travers le rêve et nous
fait savoir qu'il nous voit bien différent de ce que nous
croyons être (Carl Gustav Jung)
-
On peut duper le monde un certain temps, et
certaines personnes tout le temps, mais on ne peut pas duper
tout le monde tout le temps (Abraham Lincoln)
-
Les études de santé publique le prouvent, les
taux de natalité baissent aussitôt que le niveau d'éducation et
de prospérité sociale des filles monte. (Sylvain Tesson)
-
Il faut toujours être botté et prêt à partir
(Montaigne)
-
Un premier verre: pas besoin de berceuse! Un
second: pas besoin de couverture! Un troisième: pas besoin de
lit! (proverbe russe)
-
Quelqu'un nous attendais quelque part.
(définition de la richesse)
-
Où va le blanc quand la neige a fondu?
(Shakespeare)
-
La technologie procure ce dont on ignore
avoir besoin (Sylvain Tesson)
-
Une journée, comme la vie, mène à la nuit
(Sylvain Tesson)
-
Au dernier col, le Cervin apparut dans ses
proportions définitives. Dieu (qui est suisse) avait modelé ce
sommet selon le nombre d'or pour enluminer les emballages de
Toblerone et prouver à l'univers la perfection helvétique
(Sylvain Tesson)
-
On avait découvert le smartphone, le progrès avait
fait des progrès. (Sylvain Tesson)
-
Les mêmes, au même endroit, un peu plus tard
(Feydeau)
-
Définition de la poésie: dire ce que l'on n'a
jamais vu (Sylvain Tesson)
-
Reculer? Jamais ? (devise de l'Armée rouge)
-
Après moi, le déluge (La Pompadour)
-
Wait and see (Winston Churchill)
-
De loin, l'obstacle est terrifiant.
Approchez-vous, les difficultés s'estompent (Principe de la
navigation en haute montagne)
-
Le racisme n'est pas un problème de Noir,
c'est un problème de Blanc, de la même façon que le sexisme
n'est pas un problème de femme mais un problème d'homme. (Russel
Banks, † 2023)
-
Dieu a dit : Je partage en deux, les riches
auront de la nourriture, les pauvres de l'appétit. (Coluche)
-
Dieu a créé l'alcool pour que les femmes
moches baisent quand même. (Coluche)
-
L'humour a toujours été contre le pouvoir,
quel que soit le régime. (Coluche)
-
"Bite" c'est un gros mot, même si c'est une
petite. (Coluche)
-
En Ecosse, un homme a été arrêté pour
attentat à la pudeur... parce qu'il s'épongeait le front avec
son kilt. (Coluche)
-
Un pays neutre, c'est un pays qui ne vend pas
d'armes à un pays en guerre. Sauf s'il paie comptant. (Coluche)
-
La dictature, c'est "ferme ta gueule" et la
démocratie c'est "cause toujours". (Coluche)
-
Chez ma grand-mère, tout le monde faisait la
prière avant de manger. Faut dire que la bouffe était
dégueulasse. (Coluche)
-
Si voter changeait quelque chose, il y a
longtemps que ça serait interdit. (Coluche)
-
Vous savez la différence entre une grand-mère
italienne et un éléphant ? Environ dix kilos. (Coluche)
-
Quand on voit c'qu'on voit, puis qu'on entend
c'qu'on entend, on a raison d'penser c'qu'on pense. (Coluche)
-
Gynécologue, c'est un métier accessible aux
sourds. En effet il n'y a rien à entendre et on peut lire sur
les lèvres. (Coluche)
-
Les sondages, c'est pour que les gens sachent
ce qu'ils pensent. (Coluche)
-
Le secret le mieux gardé de l`Etat moderne:
N'oubliez jamais qu'ils sont avant tout les garants des
propriétaires. (Karl Marx)
-
L'ordre impeccable est l'ordre implacable (Edgar Morin)
-
Le danger ne vient pas des robots, mais du
risque que les humains deviennent des robots (Edgar
Morin)
-
L'enjeu essentiel n'est pas de changer la
nature humaine, mais d'en inhiber le pire et d'en favoriser le
meilleur (Edgar Morin)
-
Le néolibéralisme mondialisé n'est autre que
la toute-puissance mondialisée du profit (Edgar Morin)
-
Il s'agit d'abandonner le rêve prométhéen de
la maîtrise de l'univers pour aspirer à la convivialité sur
Terre (Edgar Morin)
-
L'humain est un être instable et versatile,
vivant de contradictions, capable du meilleur et du pire, devant
contrôler sans cesse ses passions par sa raison, et réchauffer
sans cesse sa raison par ses passions (Edgar Morin)
-
Le développement capitaliste a entraîné la
marchandisation généralisée, y compris là où régnait le don, le
service gratuit, les biens communs non monétaires, détruisant
ainsi de nombreux tissus de convivialité (Edgar Morin)
-
Le développement industriel apporte, en même
temps que l'élévation des niveaux de vie, des abaissements des
qualités de vie (Edgar Morin)
-
Le renoncement au meilleur des mondes n'est
nullement le renoncement à un monde meilleur (Edgar
Morin)
-
La diversité humaine est le trésor de l'unité
humaine, laquelle est le trésor de la diversité humaine (Edgar Morin)
-
L'ordre le plus total et le plus
implacable ne pourra échapper, tôt ou tard, au deuxième principe
de la thermo-dynamique: l'inexorable désintégration (Edgar Morin)
-
Je préfère mourir de passion que d'ennui
(Vincent Van Gogh)
-
Ce qu'un pays appelle ses intérêts vitaux
n'est pas ce qui aide ses habitants à mieux vivre, mais ce qui
l'aide à faire la guerre (Simone Weil)
-
Ils n'étaient que quelques-uns / sur toute la
terre / chacun se croyait seul / ils furent foule soudain.
(Paul Eluard)
-
Le chemin le plus court d'un point à un
autre, c'est de ne pas y aller (Philippe Geluck)
-
Rien de nouveau sous le soleil (La Bible,
l'Ecclésiaste)
-
Rien ne change sous le soleil de Dieu.
L'Homme reste fidèle à lui-même, animal grandiose et
désespérant, ruisselant de lumière et farci de médiocrité (Jean-Paul Perrin)
-
Il faut savoir prévoir ce qui va se passer;
et pouvoir expliquer ensuite pourquoi cela ne s'est pas passé.
(Winston Churchill)
-
Puisque nous n'arrivons pas à comprendre ce
monde, feignons d'en être l'organisateur (Jean Cocteau)
-
Il y a quelque chose de plus fort que la
mort, c'est la présence des absents dans la mémoire des vivants
(Jean d'Ormesson)
-
Les miroirs devraient réfléchir un peu plus
lorsqu'ils renvoient une image (Jean Cocteau)
-
Avoir raison trop tôt c'est avoir tort (un
clairvoyant)
-
La
justice, c’est comme la Sainte Vierge. Si elle ne se manifeste
pas de temps à autre, le doute s’installe (Michel
Audiard)
-
Derrière chaque fortune inexplicable, il y a
un crime (Honoré de Balzac)
-
Le cosmos est-il infini ?. Le cosmos je ne
sais pas, mais la bêtise humaine oui! (Albert Einstein)
-
Mal nommer les choses, c'est rajouter au
malheur du monde (Albert Camus)
-
C’est le
commencement qui est le pire, puis le milieu, puis la fin, à la
fin c’est la fin qui est le pire (Samuel Beckett)
- La paix est le seul horizon possible. Sinon
nos petits enfants connaîtront des malheurs terribles en Israël
(Ytzhak Rabin)
- C’est parfois au bout de la catastrophe
qu’émerge une lueur d’espoir (Jacques Attali)
-
Une injustice ne peut pas être rachetée par
une autre injustice (Anjuska Weil)
-
Pour nous, la séparation entre Israéliens et
Palestiniens a toujours été contre-nature (Anjuska Weil)
-
Je n'ai pas envie de condamner ou de
justifier. Il faut que ces crimes de guerre cessent (Raya)
-
Mal adapté parce que trop bien nanti, néfaste
à l'équilibre biologique de la planète, l'être humain
serait-il en définitive une erreur de la nature? (Hubert
Reeves)
-
Estimer correctement son degré d'ignorance
est une étape saine et nécessaire (Hubert Reeves)
-
Celui qui prend du recul voit clair, celui
qui est trop près ne voit que du brouillard (Lao Tseu)
-
L'homme est la somme de ce qu'il a fait. Tant
que l'addition n'est pas finie, on peut encore devenir un
monstre, un menteur, un gredin. (Jean-Paul Sartre)
-
Quiconque n'est pas choqué par la théorie
quantique ne la comprend pas (Nils Bohr)
-
Quand ta route te mène à un embranchement,
prends-le ! (Yogi Berra)
-
N'oubliez-pas d'aller aux obsèques de vos
amis sinon ils ne viendront pas aux vôtres ! (Yogi Berra)
-
La théorie et la pratique, c'est exactement
la même chose. Sauf qu'en pratique c'est pas vrai (Yogi Berra)
-
Un homme à la mer lève un bras et crie "au
secours!". L'écho lui répond "qu'entendez-vous par là?"
(Jules Supervielle)
-
Le simple fait d'exister est un véritable
bonheur (Blaise Cendrars)
-
Blaise Cendrars répondait "parce que" à la
question "pourquoi voyagez-vous?"
-
Quand on n'arrive plus à se représenter le
monde de l'autre, on peut tout se permettre (Boris Cyrulnik)
-
Le salut d’Israël passe par sa main tendue
au peuple qu’elle colonise. (Dominique Eddé)
-
Pour assurer son existence dans la durée,
Israël doit renoncer à l’anéantissement de Gaza et à l’annexion
de la Cisjordanie. Son avenir ne peut pas lui être assuré par
l’expulsion, l’extermination, la conquête du peu de territoire
qui reste. Il ne peut l’être que par un changement radical de
politique. Un renoncement à la logique de l’affirmation de soi
par la supériorité militaire et la négation de l’autre.
(Dominique Eddé)
-
Si vous ne faites pas attention, les Médias
vous feront détester les opprimés et aimer les oppresseurs(Malcolm
X)
-
La paix entre les Palestiniens et les
Israéliens n'est pas un chemin facile, mais c'est le seul chemin
vers un avenir où les enfants des deux peuples pourront jouer
ensemble au lieu de se battre (ChatGPT)
-
Dans chaque vieux il y a un jeune qui se
demande ce qu'il s'est passé (Groucho Marx)
-
Ce n’est pas celui qui prend les armes le
premier qui est coupable de la guerre, mais celui qui lui a
donné un motif pour qu’il prenne les armes (Machiavel)
-
Quand la guerre est déclarée, la vérité est
la première victime (Arthur Ponsonby)
-
La guerre, un massacre de gens qui ne se
connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se
massacrent pas (Paul Valéry)
-
Le diplôme est l'ennemi mortel de la culture
(Paul Valéry)
-
Ceux qui comprennent ne comprennent pas que
l'on ne comprenne pas. Et ceux-ci doutent que ceux-là
comprennent (Paul Valéry)
-
L'avenir n'est plus ce qu'il était
(Paul Valéry)
-
Je pense, et cela me rend pensif
(Paul Valéry)
-
Les guerres, ce sont des hommes qui
s'entre-tuent parce que d'autres gens qui se connaissent très
bien ne parviennent pas à se mettre d'accord
(Paul Valéry)
-
La mémoire est l'avenir du passé
(Paul Valéry)
-
La santé, c'est le silence des organes
(Paul Valéry)
-
Il est impossible de comprendre et de punir à
la fois
(Paul Valéry)
-
Pour juger quelqu'un, jugez les intentions
qu'il vous prête
(Paul Valéry)
-
L'amertume vient presque toujours de ne pas
recevoir un peu plus que ce que l'on donne. Le sentiment de ne
pas faire une bonne affaire
(Paul Valéry)
-
L'Europe deviendra-t-elle ce qu'elle est en
réalité, c'est-à-dire : un petit cap du continent asiatique ?
(Paul Valéry)
-
Qu'est-ce qu'un sot ? Peut-être ce n'est
qu'un esprit peu exigeant qui se contente de peu. Un sot
serait-il un sage
(Paul Valéry)
-
La mort est un acte du coeur
(Paul Valéry)
-
Les grands hommes meurent deux fois : une
fois comme homme, et une fois comme grand
(Paul Valéry)
-
Rappelez-vous tout simplement qu'entre les
hommes il n'existe que deux relations : la logique ou la guerre
(Paul Valéry)
-
La théologie joue avec la vérité comme un
chat avec une souris
(Paul Valéry)
-
Il faut s'excuser de bien faire, rien ne
blesse plus
(Paul Valéry)
-
Chaque homme sait une quantité prodigieuse de
choses qu'il ignore qu'il sait
(Paul Valéry)
-
L'existence des voisins est la seule défense
des nations contre une perpétuelle guerre civile
(Paul Valéry)
-
L'homme de génie est celui qui m'en donne
(Paul Valéry)
-
Il y a quelque chose de plus fort que la
mort, c'est la présence des absents dans la mémoire des vivants
(Jean d'Ormesson)
-
De tous les remèdes que cette planète bleue
où nous vivons nous offre, la musique est le seul à être
également partagé (Nicolas Bouvier)
-
Naître, errer, mourir, pourrir, être oublié
(Proverbe baloutch)
-
Une journée où je n'ai pas ri est pour moi à
mettre au panier, à biffer de l'agenda (Nicolas Bouvier)
-
Qui ne sait pas rire à gorge déployée n'a pas
le droit de s'appeler chrétien (Jean Calvin)
-
Tous les westerns sont une façon de revivre
ce qu'on ne peut plus vivre (Nicolas Bouvier)
-
Le tigre a besoin de chasser, l'oiseau de
voler, l'homme de s'asseoir et de se demander pourquoi,
pourquoi, pourquoi? (Kurt Vonnegut)
-
La musique est le seul don que l'Occident
puisse être fier d'avoir offert au reste du monde, car pour ce
qui est du goupillon ou des armes de destruction, il n'y a
franchement pas pas de quoi se vanter (Nicolas Bouvier)
-
Une banque est un endroit où l'on vous prête
un parapluie quand il fait beau et où on vous le reprend quand
il pleut (Jérome K. Jérome)
-
Il est sorti premier d'un concours de
circonstances (Paul Claudel)
-
Un diplomate est un homme qui se rappelle
l'anniversaire d'une femme et qui oublie son âge (Sommerset
Maugham)
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Si vous voulez savoir la valeur de l'argent
essayez d'en emprunter (Benjamin Franklin)
-
Napoléon sur son lit de mort: "si Grouchy
arrive, dites-lui que ce n'est plus la peine" (François
Cavanna)
-
Faites avouer à un Japonais qu'il est Juif,
vous verrez si c'est commode (Michel Audiard)
-
Vous êtes marié? "Un peu... Vous savez ce qu
c'est. Un beau jour on se rencontre chez le maire, il vous pose
des questions. On répond oui parce qu'il y a du monde...
(Georges Feydeau)
-
L'air est plus pur à la campagne parce que
les paysans dorment les fenêtres fermées (Francis Blanche)
-
Quand un philosophe vous répond, on ne sait
plus ce qu'on lui avait demandé (André Gide)
-
Non seulement Dieu n'existe pas. Mais essayez
donc d'avoir un plombier pendant le week-end (Woody Allen)
-
Les talons hauts on été inventés par une
femme qu'on embrassait toujours sur le front (Marcel Achard)
-
Ils avaient le regard triste et solennel des
Anglais qui s'amusent (Somerset Maugham)
-
Son épitaphe: laissez-moi dormir, j'étais
fait pour ça (Francis Blanche)
-
Mais que foutait Dieu, avant la création?
(Samuel Beckett)
-
Il était marchand d'enclumes à la sauvette
dans les couloir de la station "Châtelet" (Alexandre
Brefford)
-
Epitaphe: Quand je vous disais que j'étais
malade! (Francis Blanche)
-
Quéquette en juin, layette en mars (Pierre
Desproges)
-
Je ne chercherai pas l'enfant de putain qui
m'a piqué ma bouteille de whisky, mais qu'il sache que j'étais
le meilleur ami de sa mère (Lester Young)
-
Si j'ai demandé un faux numéro, pourquoi
répondez-vous? (James Thurber)
-
Madame, votre mari a besoin de repos. J'ai
porté sur l'ordonnance un tranquillisant. Vous en prendrez
quatre comprimés par jour (Bernard Shaw)
-
Pendant des millions d'années, l'Humanité
vivait simplement comme des animaux. Puis quelque chose est
arrivé, qui a libéré toute la puissance de notre imagination:
nous avons appris à parler. (Stephen Hawkins, via un
outil de synthèse vocale dans la chanson des Pink Floyd "Keep
Talking")
-
C’est une faiblesse intellectuelle
extrêmement répandue de considérer que l’explication est une
justification (Edgar Morin)
-
Oublier le passé, c'est se condamner à le
revivre (Primo Lévy)
-
Deux intellectuels qui restent assis vont
moins loin qu'une brute qui marche (Michel Audiard)
-
Parfois ce sont les personnes qu'on imagine
capables de rien qui font des choses que personne n'aurait
imaginées (Alan Turing)
-
Si Grouchy arrive, dites-lui que ce n'est
plus la peine (Napoléon sur son lit de mort)
-
La flagornerie ne contente que les incapables
-
Il vaut mieux être victime d'une injustice
qu'en être responsable (Cicéron)
-
On peut mentir impunément à condition que ce
soit pour la plus grande gloire de Dieu. Il suffit de rajouter
mentalement un complément à la phrase prononcée. (règle
jésuite)
-
Les lois religieuse ne s'appliquent qu'aux
adeptes de la religion qui est la leur (Montesquieu, l'esprit
des lois)
-
Le Vatican a mis le préservatif à l'index.
Nous vous conseillons de le mettre ailleurs.
-
Les mots sont des pistolets chargés (Brice
Parain)
-
En Suisse, on s'entend bien, parce qu'on ne
se comprend pas (Jean-Pascal Delamuraz)
-
Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup y
ramène (Francis Bacon)
-
Ne fais pas à autrui ce que tu n'aimerais pas
qu'on te fasse (Confucius)
-
Comprendre c'est se donner la possibilité de pardonner (Von)
-
Tout le monde ne pense qu'à soi, y a que
moi qui pense à moi, c'est dégueulasse (Coline Serreau,
La Crise)
-
La liberté pour les loups signifie la mort
pour les agneaux (Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie)
-
Le passé est l'avenir du futur (Von)
-
Le bonheur à deux, ça dure le temps de
compter jusqu'à trois (Sacha Guitry)
-
Si l'on bâtissait la maison du bonheur, la
plus grande puièce serait la salle d'attente (Gilbert
Cesbron)
-
Dieu, quand il a pétri la terre, a fait une
grosse boulette (Alexandre Breffort)
-
Chez nous, on mangeait à la carte. Celui qui
tirait l'as de pique, mangeait (Woody Allen)
-
Pour marcher au pas, point n'est besoin de
cerveau. La moelle épinière suffit (Albert Einstein)
-
Le Châteaubriant est un filet tellement
délicieux qu'il a donné son nom à un grand écrivain (Henri
Rochefort)
-
Un être qui déteste les chiens et les enfants
ne peut pas être totalement mauvais (W.C. Fields)
-
Quand je fais une conférence, j'accepte
volontiers que quelqu'un regarde sa montre, mais je ne tolère
pas, qu'après l'avoir regardée, il la porte à son oreille pour
savoir si elle n'est pas arrêtée (Marcel Achard)
-
Mais que foutait Dieu, avant la création ?
(Samuel Beckett)
-
Cette fille a un si beau cul qu'il mériterait
d'être devant (César)
-
Les démocratries, c'est comme les jeunes
filles. C'est très joli mais leur sort, c'est de se faire baiser
un jour ou l'autre (Wolinski)
-
Elle s'est donnée à moi et c'est elle qui m'a
eu (Sacha Guitry)
-
Si j'avais dit à mon père, sévère ingénieur,
que je voulais écrire, il m'aurait demandé "à qui?" (Maurice
Donnay)
-
Nous avons passé la journée ensemble, hier.
Eh bien, pour une fois , il ne sentait pas mauvais. Il avait
mangé de l'aïl (Aurélien Scholl)
-
J'ai des troubles de mémoire. Par exemple, il
m'arrive de poursuivre les jolies femmes. Je ne me souviens plus
pourquoi (Pierre-Jean Vaillard)
-
Il y a des jours où je ne fais pas mon âge,
mais il y a des nuits où je fais le double (Alexandre
Breffort)
-
Parole d'optimiste: elle est en retard, donc
elle viendra (Marcel Achard)
-
Avec ma femme, j'ai toujours le dernier mot:
"oui chérie" (Jules Renard)
-
La réponse est oui. Mais quelle était la
question? (Woody Allen)
-
La vraie paresse, c'est de se lever à 6
heures du matin pour avoir plus de temps à ne rien faire
(Tristan Bernard)
-
On ne sait jamais ce que le passé vous
réserve (Alexandre Breffort
-
Le pastis, c'est comme les seins. Un c'est
pas assez et trois c'est trop (Fernandel)
-
Parfois je pense, et parfois je suis (Paul
Valéry)
-
Existe-t-il dans la nature quelque chose de
réellement parfait à l'exception de la stupidité de mon oncle
Heyman ? (Woody Allen)
-
Pessimiste: femme qui pense qu'elle ne pourra
pas garer sa voiture entre deux autres dans un espace
visiblement trop étroit. Optimiste: l'homme qui pense qu'elle
n'essayera pas (Crover Whalen)
-
Si une lady dit "non", cela signifie
"peut-être". Si elle dit "peut-être", cela veut dire "oui". Si
elle dit "oui", ce n'est pas une lady (Bernard Shaw)
-
Il était tellement pieux qu'on en fit une
clôture (Léo Campion)
-
La plaisanterie d'un homme riche est toujours
excellente (Thomas Brown)
-
Le poële à bois et la caravane passe (Léo
Campion)
-
On ne perd rien à être poli sauf sa place
dans le métro (Tristan Bernard)
-
Comme disait Colbert à Monsieur de Louvois
"J'aurais dû baiser plus quand baiser je pouvois" (Tristan
Bernard)
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Les femmes ne se souviennent que des hommes
qui les ont fait rire et les hommes des femmes qui les ont fait
pleurer (Louis Verneuil)
-
Pour tout le monde, deux et deux font quatre;
pour les Rothschild, ça fait vingt-deux (Philippe de
Rothschild)
-
Il y a deux sortes de savants: les
spécialistes qui connaissent tout sur rien, et les philosophes
qui ne connaissent rien sur tout (Bernard Shaw)
-
Je vais donc vivre seul. Et déjà je me
demande avec qui (Sacha Guitry)
-
La carrière d'une star commence quand elle ne
peut pas entrer dans son soutien-gorge et finit quand elle ne
peut plus entrer dans sa jupe (Ordon Welles)
-
Un monsieur entre par inadvertance dans une
salle de bain où une dame fait sa toilette. S'il en ressort en
disant "Pardon Madame", c'est de la politesse. S'il dit "Pardon,
Monsieur", c'est du tact (Jean Nohain)
-
Le théâtre va mal. Euripide est mort.
Shakespeare est mort. Molière est mort. Et moi je ne me sens pas
très bien (Bernard Shaw)
-
Les Anglais sont bizarres. Alors que nous
donnons à nos rues et à nos places des noms de victoires: rue de
Rivoli, Place d'Iéna, eux donnent aux leurs des noms de
défaites: Trafalgar Square, Waterloo Place... (Alphonse
Allais)
-
Etre vieux, c'est quand on tutoie tout le
monde et que personne ne vous dit "tu" (Marcel Pagnol)
-
Vieux moi? Je peux encore faire l'amour deux
fois de suite. Une fois l'hiver, une fois l'été (Alfred Capus)
-
Croyez-vous encore qu'une croissance infinie
soit possible sur une planète où les ressources sont limitées?
(Frédéric Beigbeder)
-
L'ignorance et la peur sont ce qui
suscite, provoque, fonde le racisme et l'intolérance
(Tahar Ben Jelloun)
-
La tristesse est la marque du diable, la
gaieté est celle de Dieu (Jean Dutourd)
-
Le trait distinctif du vrai romancier : il
n'aime pas parler de lui-même (Milan Kundera)
-
L'ignorance et la peur sont ce qui suscite,
provoque, fonde le racisme et l'intolérance (Tahar Ben
Jelloun)
-
Le plus cruel quand on vieillit, c'est ce
vide, peu à peu, qui se fait autour de soi. Admirés et aimés,
les maîtres s'en vont les premiers (Jean d' Ormesson)
-
Dans les voyages, le plus beau est : le
projet puis le souvenir… (Jean d'Ormesson)
-
On n'est pas vieux tant que l'on cherche
(Jean Rostand)
-
On se lasse de tout, sauf de connaître
(Jean Rostand)
-
Juger, c'est de toute évidence ne pas
comprendre puisque, si l'on comprenait, on ne pourrait pas juger
(André Malraux )
-
Des doux objets de la tendresse, une épouse
et des enfants couronnent la vieillesse (Alphonse de
Lamartine)
-
La religion n'est plus l'opium du peuple,
mais la vitamine du faible (Régis Debray)
-
L'amour est un minerai extrêmement rare. Il
n'y a pas suffisamment d'amour en ce monde (Amos Oz )
-
Ce qui importe, ce n'est pas d'arriver, mais
d'aller vers (Antoine de Saint-Exupéry)
-
La capacité d'action d'un État moderne ne se
fonde que sur une société civile vivante, auto-organisée et
puissante (Alexandre Jardin )
-
Le meilleur moyen de savoir si vous pouvez
faire confiance à quelqu'un c'est de lui faire confiance
(Ernest Hemingway)
-
Il ne faut pas juger un homme d'après ses
fréquentations, Judas avait des amis irréprochables (Ernest
Hemingway)
-
Dans tous les arts, le plaisir croît avec la
connaissance que l'on a d'eux (Ernest Hemingway)
-
Qu'elle soit nécessaire, ou même justifiée,
ne croyez jamais que la guerre n'est pas un crime (Ernest
Hemingway)
-
Avant de prendre la parole, je voudrais dire
quelques mots (Alexandre Vialatte )
-
Ce n'est pas la girouette qui tourne, c'est
le vent (Edgar Faure)
-
Ca s'en va et ça revient (Claude François)
-
Le patriotisme, c'est aimer son pays. Le
nationalisme, c'est détester celui des autres (Charles De
Gaulle)
-
Le patriotisme c'est l'amour des
siens. Le nationalisme c'est la haine des autres (Romain
Gary)
-
Écrire proprement sa langue est une
des formes du patriotisme (
Lucie
Delarue-Mardrus)
-
Un homme ne doit pas avoir deux
patries. Le patriotisme qui se divise s'affaiblit
(Laure Conan)
-
Autre chose est la nature, autre chose la
nature vue (Ferdinand Hodler)
- L’art n’est pas un moyen de plaisir, mais
une condition de la vie (Ferdinand Hodler)
- Si l’art ne produit pas du sang, il le
fait circuler (Ferdinand Hodler)
- L’expression
"devoir de mémoire" recouvre une forme de dictature sentimentale
propre, comme toutes les dictatures, à engendrer plutôt la haine
et l’esprit de revanche que la recherche des faits et la
réflexion pour en comprendre l’enchaînement et peut-être en
éviter la reproduction. (Suzette Sandoz)
- Je veux que l'IA fasse ma vaisselle et ma
lessive pour avoir le temps d'écrire, pas que l'IA écrive et
fasse de l'art pour que j'aie le temps de faire ma vaisselle et
ma lessive (Joanna Maciejewska)
- On ne venge aucun mort en affamant des
innocents ou en condamnant des enfants. Sans avenir pour le
peuple palestinien, il n'y en aucun pour le peuple israélien
(Delphine Horvilleur, rabbin)
- A notre misérable époque, il n^y a rien
de plus important que déveiller l'enthousiasme (Pablo
Picasso)
- Si tu as envie de lire un livre, commence
par l'écrire (Jules Renard)
- Il faudrait être un piètre artiste, une
troupe de baller ou un groupe rock bien minable, pour ne pas
bénéficier une jour ou l'autre des soutiens publics ou privés
qui se proposent à l'envi (Michel Thévoz)
- A quoi sert d'être un imposteur? Tout
retombe dans la vérité, inlassablement (Jean Baudrillard)
- Pour bien connaître quelqu'un, il faut le
faire mentir (Michel Thévoz)
- Ce qu'il y a de meilleur dans dans
l'homme, c'est le chien (Toussaint Nicolas Charlet)
- L'homme est le seul animal qui ne soit
pas un animal (Boris Vian)
- Il y a des couples qui ont des enfants
parce qu'ils n'ont pas pu avoir de chien (Coluche)
- La mort n'est pas une chose si sérieuse,
la douleur oui (André Malraux)
- Les armes sont les bijoux des hommes
(Jean Follain)
- La Suisse est un pays célèbre pour la
liberté dont on y jouit. A condition d'être touriste (Berthold
Brecht)
- En l'an 2000, plus de musique (Léo
Ferré)
- La conception des frères et soeurs cadets
de Jésus n'a pas été le moins du monde "immaculée" (Saint
Matthieu)
- L.H.O.O.Q. (Marcel Duchamp)
- La vie est trop courte pour boire le vin
qui n'est pas bon (Friedrich Dürrenmatt)
- Je trouve d'abord, je cherche ensuite
(Jean Cocteau)
- Sur les bords des fleuves de Babylone,
nous étions assis et nous pleurions. Aux saules de la contrée,
nous avions suspendu nos harpes. Là, nos vainqueurs nous
demandaient des chants et nos oppresseurs de la joie.
Chantez-nous quelques-uns des cantiques de Sion! Comment
chanterions-nous les cantiques de l'Eternel sur une terrasse
étrangère? (La Bible, psaume 137)
- Il y eut un tel carnage que les nôtres
marchaient dans le sang jusqu'aux chevilles (anonyme,
première croisade)
- Jamais, depuis le jour de la
Saint-Barthélemy, rien n'a tant déshonoré la nature humaine
(Voltaire, 1762)
- Un bon Indien est un Indien mort
(Général Philip Sheridan, 1869)
- C'est en vain que quelques philanthropes
ont essayé de prouver que l'espèce nègre est aussi intelligente
que l'espèce blanche (Article "Nègre" dans le Larousse de
1872)
- La vérité est en marche, et rien ne
l'arrêtera (Emile Zola, 1898)
- Arrière les fusils, les mitrailleuses,
les canons ! Place à la conciliation, à l'arbitrage, à la paix
(Aristide Briant, 1926)
- Je ne peux être complice de cette
monstrueuse machination qui n'a pu être conçue que par des
sadiques en délire (Jean Moulin)
- Paris! Paris outragé! Paris brisé! Paris
martyrisé! Mais Paris libéré! (de Gaulle,1944)
- Ici il n'y a pas de pourquoi (Primo
Lévi)
- L'ONU n'a pas été créée pour conduire
l'humanité au paradis, mais pour la sauver de l'enfer (Dag
Hammarskjöld, secrétaire général de l'ONU)
- Il n'est pas de problème dont une absence
de solution ne finisse par venir à bout (Dr Henri Queuille,
1884-1970)
- I have a dream (j'ai fait un rêve)
(Martin Luther King, 1963)
- On n’a jamais à dire la vérité ailleurs
que dans sa langue; dans celle de l’ennemi, le mensonge suffit
(Guy Debord)
- Le vrai drame des cimetières n'est pas
d'être rempli de gens irremplaçables mais plutôt de gens qui
n'apportent plus d'explications à nos interrogations (Nicolas
Jutzet?)
- Le doute méthodique est une façon
d'établir des preuves, de vérifier les faits, de poser des
questions - les bonnes -, d'éviter de prendre les apparences
pour des réalités et les faux-semblants pour ce qui est
fondamental (Moshe Lewin)
- Il faut aller aux enterrements de ses
amis, sinon il ne viendront pas au nôtre ()
- Tout n'est pas fini tant qu'on a encore
une bonne histoire à raconter (1900, le pianiste)
- Le tout, c'est d'avoir du génie à vingt
ans et du talent à quatre-vingts (Jean-Baptiste Camille
Corot)
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